Printemps arabe

Les soulèvements populaires qui ont touché les pays arabes vers la fin de l’année 2010 ne sont qu’un prolongement des révolutions colorées.

Les rumeurs sur l’apparition cathodique de Khaled Drareni, le « journaliste autoproclamé du Hirak »[1], battent actuellement leur plein, créant tangage et roulis dans l’infosphère. Partisans contre détracteurs, groupies contre vomisseurs ainsi que badauds saprophytes squattant le cyberespace à la recherche d’une éventuelle cyber-bagarre, donnant un coup par ci, un coup par là. Tout le monde s’en donne à cœur joie.

Traduzzionne: Nicola Quatrano (OSSIN)

Il 23 dicembre scorso, Moncef Marzouki, l’ex-presidente ad interim della Tunisia, è stato condannato a 4 anni di reclusione dalla Giustizia tunisina. A dire il vero, il “titolo” di presidente, sebbene ad interim, non si addice affatto a questo personaggio che tramanderà ai posteri nient’altro che il suo soprannome pittoresco e ridicolo: il Tartour (burattino) di Tunisi.

Traducción: Purificación González de la Blanca

El 23 de diciembre, Moncef Marzouki, ex presidente interino de Túnez, fue condenado a 4 años de prisión por los tribunales tunecinos. Hay que decir que la palabra “presidente”, aunque sea interino, no le cuadra a este personaje que habrá dejado para la posteridad sólo su llamativo y risible apodo: el Tartour (títere) de Túnez. 

Le 23 décembre dernier, Moncef Marzouki, l’ex-président par intérim de la Tunisie, a été condamné à 4 ans de prison par la justice tunisienne. Il faut dire que le « mot » président, même intérimaire, ne sied aucunement à ce personnage qui n’aura laissé à la postérité que son surnom coloré et risible : le Tartour (pantin) de Tunis.

C’est un neveu, qui du haut de ses six ans, scandait (et ce n’est pas une plaisanterie) dans le salon de ses parents « one, two, three, on va laver l’Algérie), le soir de la victoire de l’Algérie ; c’est ce match de football contre les monarchies épaulées par les colons et leurs supplétifs, en coupe arabe de football, qui m’a donné l’énergie utile pour continuer à me mobiliser afin de lui ouvrir un peu la route de l’avenir bouchée par les reptiles.

La mise sous scellés de Radio M et l’arrestation de son directeur a provoqué la sortie de tous les saltimbanques du Hirak frelaté! On les croyait disparus, avachis dans un lointain recoin du cyberespace ou ayant finalement décidé de faire quelque chose d’intéressant pour eux-mêmes, pour leur pays voire pour l’humanité (pourquoi ne pas rêver en ce début d’année?).

Ça y est! Un imposant tipi a été rapidement installé dans l’immense jardin de la villa des Zelig-Mouffok et la tribu de la bienpensance algéroise s’y est réunie. Bien sûr, sous la supervision du grand Manitou, Zelig Omar en personne (Zigomar pour les intimes).

Le dénommé Omar Zelig, nom de guerre de Luc Chaulet, époux de la journaliste Ghania Mouffok, aux identités nationales imperceptibles (Algériens, Français ou Franco-algériens ?), tous deux embusqués dans le fatras des réseaux sociaux, vient d’ajouter sa danse joyeuse sur le cadavre encore fumant du professeur Ammar Belhimer

 

أثناء توليه رئاسة لجنة الشؤون الخارجية في مجلس الشيوخ، تعاون جو بايدن (ديمقراطي) بنشاط مع إدارة بوش الابن (جمهوري) ولعب دورًا رئيسيًا في اندلاع الحرب ضد العراق. خلال هذه الفترة نفسها، كان أيضًا قريبًا جدًا من الصندوق الوطني للديمقراطية (NED) ، كما يتضح من خلال مشاركته في حفل منح "جوائز الديمقراطية" التي تمنحها هذه المنظمة سنويًا لتعزيز الديمقراطية "صنع في الولايات المتحدة".