Une amie m'a fait parvenir le post nauséabond d'un certain Omar Zelig, alias Luc Chaulet, alias Monsieur Ghania Mouffok, alias "copain du barbouze" gérant d'une radio qualifiée de M... (d'où l'odeur du post):
Après l'avoir lu, je me suis demandé la raison de tant d'animosité gratuite de la part de personnes qui nous vendent la liberté d'expression, les droits de l'homme et la démocratie à chaque ligne qu'ils écrivent et à chaque phrase qu'ils prononcent.
Avant de répondre longuement à cette question "existentielle" de manière claire et explicite dans une prochaine livraison, je me suis souvenu de l'article de mon ami Boualem Snaoui à propos des élucubrations de Mme Zelig, suite à mon enquête sur la radio citée en introduction. En voici un extrait.
Bonne lecture.
Ahmed Bensaada
P.S.: Les commentaires ont été tellement en opposition avec le post que:
Extrait de l'article de Boualem Snaoui:
C’est en parcourant, avec rage et courage, le canard électronique de « presse » de « Nicolas Joli », celui pour lequel le « royaume est Beau », disais-je, que tu découvres une partie du cheminement de cette guerre menée contre le peuple algérien par procuration. Chez « Nicolas », même le beaujolais n’est pas nouveau, puisque l’Algérie bat tous les records, avec 843 publications, dont celles de Ghania Mouffok, celle qui est venue au secours de son protégé « El Cadi barbouze » de la radio de Momo, pour le démentir : « 80 000 dollars, 50 000 dollars jetés sur la table du complot ». Comme pour faire taire les journaux alternatifs qui vivotent en France et en Europe, elle ajoute : « ..Au regard des flux financiers qui circulent de par le monde, ces sommes sont dérisoires… ». Elle aurait dû balancer sa trouvaille sur la gueule des travailleurs, des chômeurs, des sans- culottes, dans sa « voix pour l’Algérie », qui n’est autre que tata Louisa Hanoune, 1996- Editions la Découverte- de François Gèze. Tata Louisa Hanoune, vous la connaissez maintenant, c’est cette porte- (pas la) parole des « gueux », qui se réunit par hasard avec les dirigeants de l’ancien régime du clan Bouteflika, et qui dénonce un complot à l’intérieur de son parti des travailleurs, nous dit-elle.
Ne cherchez pas de relation entre Ghania Mouffok, Louisa Hanoune et François Gèze, vous n’en trouverez pas, sauf sur le canard électronique de l’Algérie wech-wech, qui vole à l’envers. En revanche, me dit-on, Omar Zelig est le Jules de la première et il a pointé chez « Nicolas Joli » le 16 janvier 2021, pour nous jouer une partition musicale à lire avec un casque antibruit. Il s’est déployé sur le plateau de la radio de Momo, en s’intronisant chef d’orchestre de la nouvelle symphonie « fumer la moquette » de notre ami le roi. Remarque, lui, au moins est clair dans sa démarche de « hirakiste » : il milite pour l’ouverture des frontières avec le royaume du commandeur de ceux qui y croient, pour fumer à volonté. A moins qu’il veuille se faire du blé avec le joint !!! Va savoir. Ce supporter polyvalent de la chaîne « Halal » de la politique du Kamis, de la chaîne « génétiquement identifiée berbère » du Sénateur Romain Salluste, mais aussi de l’intellectuel Amir Dz (dont les œuvres ornent les étagères des bibliothèques révolutionnaires dans le monde entier), fait donc du « Hirak » au cannabis. A chacun son Hirak, mais surtout son régime.
Voilà donc pourquoi le Dr Bensaada donne des cauchemars et trouble le marché, mais surtout les tendres nuits de nos tourtereaux qui crèchent chez « Nicolas Joli » pour qui le royaume est « Beau ». Ahmed Bensaada aurait dû leur chanter une berceuse de type: « fais dodo, Colas son petit frère, fais dodo t’auras du Momo ».