Le Quai d’Orsay et le lobby pro-israélien, principaux soutiens de Boualem Sansal
De mémoire d’observateur assidu, le tsunami médiatique français qui a accompagné l’affaire de l’écrivain algéro-français Boualem Sansal a été sans précédent. Les médias mainstream ont vomi à exhaustion, le cyberespace a failli prendre feu, les organisations droitdelhommistes ont chouiné à satiété et les amphithéâtres ont tremblé sous les décibels et des litres de postillons.
Kamel Daoud, l’écrivain qui vomit sur son peuple
En 2016, j’ai écrit un livre sur l’idéologie véhiculée par les écrits de Kamel Daoud[1]. En les analysant sous la grille précise d’Albert Memmi[2], il devenait évident que cet écrivain était l’archétype du néocolonisé qui cherche à « ressembler du plus près au blanc ».
Aime VI, Jupiter et le Grand Blond avec un trou dans l’oreille
C’est l’histoire d’un drôle de trio : un lourdaud à qui on a planté une couronne royale plus grande que la tête, un grand blond qui pense gouverner le monde malgré ses difficultés capillaires avec sa mèche rebelle et un ancien banquier qui, à la brunante, aime se grimer en Jupiter